La pierre vit. OK... pas comme vous ou votre fidèle animal poilu à quatre pattes (chiens, chats ou autres...). Et pourtant elle vit ! elle boit la pluie, elle encaisse votre premier café du matin (et les autres), avec vos cigarettes (si vous êtes fumeur), elle prend le soleil…
Et pourtant, elle garde ce charme que rien n’imite. Notre mission (et la votre si vous l'acceptez), c’est de la protéger sans la travestir : garder le grain, la teinte, le toucher, tout en disant non à l’eau, aux graisses et aux dépôts.
Chez FrancePierre, on va droit au but : des solutions claires, applicables, et des résultats qui durent.
Bien qu'exceptionnellement durables, les pierres naturelles présentent une porosité variable qui les rend vulnérables à plusieurs facteurs :
Ne dit-on pas qu'il vaut mieux prévenir que guérir ? Si c'est valable pour vous, ce sera également la même chose pour vos pierres.
Un traitement adapté assure donc une protection durable. L’esthétique est préservée : couleurs et textures restent naturelles. L’entretien se simplifie, les taches s’incrustent moins. Avec le temps, la surface résiste mieux à l’érosion et aux intempéries. La résistance chimique et mécanique s’accroît.
Les hydrofuges créent une barrière invisible qui repousse l'eau tout en laissant respirer la pierre. Ils pénètrent profondément dans les pores sans former de film superficiel.
Deux solutions existent. La phase aqueuse se dilue dans l’eau, dégage très peu d’odeur et sèche vite. Elle convient aux intérieurs et aux zones abritées, car elle protège sans changer l’aspect. On l’oublie vite et c’est précisément le but. Quand la pierre est très poreuse ou fortement exposée, la phase solvantée devient la meilleure alliée. Sa pénétration est plus profonde, elle s’ancre dans les pores et tient bon sous la pluie, les UV et le froid. Idéale pour une terrasse, une façade ou des marches d’entrée.
Dans les deux cas, la pierre reste saine et respirante. Les infiltrations d’eau reculent, le gel provoque moins d’éclats, les dépôts blanchâtres liés aux sels se raréfient. L’entretien se simplifie, souvent un simple rinçage suffit. Vous conservez le cachet naturel tout en gagnant en sérénité et en longévité.
Les oléofuges complètent l'action hydrofuge en repoussant les corps gras, huiles et taches alimentaires.
En cuisine, le plan de travail reste serein face aux petits accidents du quotidien. Vin rouge, huile, citron, café… ne s’incruste plus. Un coup d’éponge, et c’est propre. L’aspect reste net, sans film ni brillance artificielle.
Dans un restaurant, les sols encaissent le passage et les nettoyages répétés sans perdre leur tenue. Les graisses pénètrent moins, l’entretien va plus vite, et l’adhérence demeure fiable. La surface garde son cachet tout en restant pratique.
Sur une terrasse ou un coin repas extérieur, la pierre traverse les saisons sans se fatiguer. Moins d’auréoles après la pluie, moins de grisaillement au soleil, moins de traces autour du barbecue. Vous profitez du lieu sans vous soucier des taches.
Autour d’une piscine, les plages restent propres malgré l’eau chlorée ou salée. Les crèmes solaires marquent moins, les dépôts blanchâtres se font discrets. Le nettoyage se fait à l’eau claire, la pierre continue de respirer et conserve son esthétique naturelle.
Une seule application et la protection devient complète. L’eau perle. Les huiles et graisses glissent. Les taches marquent moins et s’effacent plus vite. Le nettoyage du quotidien se simplifie. Le fini reste discret et la pierre continue de respirer. Aucun effet plastique, aucune brillance imposée. Le rendement est efficace avec 4 à 8 m² par litre selon la porosité. Un essai sur une zone peu visible permet d’ajuster la dose. Au final, moins d’entretien et plus de sérénité.
Les hydrofuges forment une barrière respirante qui repousse l’eau sans créer de film. La pierre reste naturelle et protégée en profondeur.
Phase aqueuse • intérieur, faible odeur, séchage rapide
Phase solvantée • porosité élevée, exposition pluie/UV/froid
Dans les deux cas, la pierre reste saine : moins d’infiltrations, gel mieux toléré, efflorescences réduites, entretien simplifié.
Les oléofuges complètent la protection en bloquant huiles et graisses. Parfait pour les zones de préparation et de service.
Cuisine • taches stoppées, un coup d’éponge suffit
Restaurant • entretien rapide, adhérence préservée
Terrasse • moins d’auréoles et de grisaillement
Piscine • propre malgré chlore/sel, surface respirante
Les formules combinées hydrofuge-oléofuge protègent eau + graisses en une seule passe : l’eau perle, les huiles glissent, l’entretien se simplifie.
Rendement indicatif : 4–8 m²/L selon porosité
Les zones de piscine travaillent en continu. La pierre peut rester immergée longtemps, affronter une eau chlorée ou salée avec des variations de pH, subir des écarts de température et encaisser un passage régulier. Sans un traitement adapté, ces contraintes finissent par marquer la surface et fragiliser le support.
Dans ce contexte, on privilégie des produits conçus pour l’immersion. STAIN-PROOF 40SK protège et consolide les pierres utilisées dans les bassins au sel, avec une tenue éprouvée sous l’eau. Les hydrofuges minéralisants apportent une imperméabilisation poussée tout en renforçant la structure interne, utile lorsque la pierre est très poreuse. Les traitements consolidants durcissent les supports fatigués et limitent l’usure mécanique. Le résultat attendu est une pierre plus stable, moins sensible aux attaques chimiques et plus simple à entretenir, que ce soit sur une plage, une margelle ou la ligne d’eau.
L’application se fait en deux couches avec un intervalle d’environ douze heures entre les passes. Le rendement moyen atteint dix mètres carrés par bidon de 3,79 litres, selon l’absorption du matériau. La protection peut durer jusqu’à dix ans en immersion selon l’exposition et les conditions d’entretien. Un essai préalable sur une zone discrète permet d’ajuster la quantité et de vérifier l’aspect avant de traiter l’ensemble.
En piscine, la pierre subit immersion, chimie de l’eau et variations thermiques. Sans protection dédiée, la surface se marque et le support se fragilise.
Immersion
Chlore / sel / pH
Passage & écarts de T°
Privilégier des produits d’immersion : STAIN-PROOF 40SK pour bassins au sel, hydrofuges minéralisants pour imperméabiliser et renforcer, consolidants pour durcir les supports. Résultat : pierre plus stable, moins d’attaques chimiques, entretien simplifié.
≈ 10 m² / bidon 3,79 L
2 passes · 12 h d’intervalle
Jusqu’à 10 ans*
*Selon exposition et entretien. Essai préalable recommandé.
Ces pierres boivent beaucoup et réagissent mal aux acides. On choisit un hydrofuge non filmogène qui pénètre en profondeur afin de protéger sans figer l’aspect. L’application se fait en deux passes croisées avec un temps d’absorption entre chaque couche. On évite absolument tout produit acide et l’on privilégie des formulations au pH neutre pour ne pas marquer la surface. La consommation varie selon la porosité entre 0,8 et 1,5 L m². Un essai discret permet d’ajuster la dose et de vérifier que la teinte reste naturelle.
Ici la densité est élevée et la porosité faible. Une formule très fluide s’impose pour entrer dans le réseau de pores serrés. Une seule couche suffit dans la plupart des cas, avec essuyage soigné des excédents pour éviter tout voile. Sur les zones humides comme une douche on peut adapter le protocole avec un temps de pose un peu plus long. La consommation reste modeste entre 0,2 et 0,5 L m², ce qui en fait un traitement économique et durable.
Ces matériaux peuvent changer légèrement de nuance au contact d’un produit. On avance donc avec mesure et l’on commence par un test sur une zone cachée. On retient des solutions compatibles avec les milieux humides pour prévenir les traces d’eau et les auréoles. Si l’on souhaite intensifier la profondeur des couleurs, un effet mouillé est envisageable, à condition de vérifier l’uniformité et l’absence de surbrillance. Le but reste une protection efficace tout en conservant le toucher minéral et une teinte régulière.
Calcaires · Dordogne, travertin, Bourgogne
Très poreux, sensibles aux acides. Hydrofuge non filmogène en 2 passes, pH neutre uniquement.
0,8–1,5 L/m²
Granit & quartzites
Denses, peu poreux. Formule très fluide, souvent une seule couche; essuyer les excédents.
0,2–0,5 L/m²
Ardoise & pierres foncées
Teinte sensible. Test discret, produits compatibles milieux humides; effet mouillé possible si uniforme.
Pour garder une pierre saine, on reste sur des nettoyants au pH neutre. Pas besoin de produits forts ni de parfums puissants. De l’eau tiède, un dosage léger et un rinçage généreux suffisent. La surface conserve ainsi sa protection et son aspect naturel, sans voile ni traces.
Le savon noir fait le travail au quotidien, il dégraisse sans agresser et laisse une surface nette. Le savon de Marseille liquide apporte la même douceur, pratique quand on cherche une solution simple et fiable. Quand il faut aller un peu plus loin, on choisit un nettoyant spécialisé pour pierre formulé à pH 7, pensé pour respecter les traitements sans les altérer.
Commencer par dépoussiérer à sec évite de frotter des grains et de créer des micro-rayures. Sur les zones très sollicitées, viser un passage chaque semaine. Ailleurs, une fois par mois suffit souvent. Nettoyer ensuite à l’eau tiède avec un savon doux, sans surdoser. Rincer abondamment à l’eau claire pour ne pas laisser de résidus. Terminer par un séchage à la microfibre bien essorée. Changer l’eau dès qu’elle devient trouble, et traiter les taches fraîches sans attendre pour éviter qu’elles s’incrustent.
On oublie le vinaigre et tous les produits acides qui attaquent les pierres calcaires. Même prudence avec la Javel et les solutions chlorées qui ternissent les finitions. Les détergents industriels trop puissants fragilisent les traitements et ouvrent la voie aux taches. Le nettoyeur haute pression abîme les joints et peut éclater les bords, mieux vaut s’en passer.
Avant toute intervention, faire un essai sur une zone discrète, porter des gants et bien rincer. Mieux vaut procéder en douceur et répéter plutôt que d’agresser la pierre.
La Terre de Sommières fait merveille. On saupoudre généreusement, on couvre d’un film plastique pour limiter l’évaporation et on laisse agir entre vingt-quatre et quarante-huit heures. On retire la poudre, on aspire, puis on rince. Autre option, une pâte de bicarbonate avec un peu d’eau oxygénée faiblement concentrée, environ trois pour cent. On applique en couche de quelques millimètres, on laisse sécher une journée, on retire délicatement et on rince. Pour les cuisines très sollicitées, un dégraissage professionnel avec un détergent alcalin adapté à la pierre peut compléter le protocole, suivi d’un rinçage abondant.
On repart sur une pâte bicarbonate et eau oxygénée, posée en cataplasme. La pâte reste en place près de vingt-quatre heures, puis on l’ôte et on rince soigneusement. Si la trace persiste, un détachant enzymatique ciblé peut faire la différence, surtout sur les résidus organiques. On travaille sans frotter fort pour ne pas lustrer ni marquer la surface.
Sur les pierres résistantes aux acides, l’acide oxalique fonctionne bien lorsqu’il est utilisé avec précision et pendant un temps de contact court. On surveille, on rince immédiatement, et on neutralise avec de l’eau claire. Sur les pierres sensibles comme les calcaires, on privilégie des solutions à base de chélateurs spécifiques pour la rouille. Elles capturent les ions fer sans attaquer le matériau. Là encore, application contrôlée, patience, et rinçage méticuleux pour un résultat net et sûr.
Élimination des laitances de ciment
Tout commence par le bon produit. Sur les pierres calcaires et autres supports sensibles, on privilégie des décapants organiques qui dissolvent la laitance sans attaquer la matière. Sur les granits et pierres naturellement plus résistantes, on peut recourir à des acides spécialisés. Si la finition est adoucie, on reste prudent et on ne dépasse pas une dilution à 10 pour cent. Un test discret permet de vérifier que l’aspect reste intact.
Méthode d’intervention
On mouille d’abord la surface pour limiter l’absorption. On prépare ensuite la solution en respectant la notice du fabricant, puis on l’étale de façon uniforme sur la pierre humectée. On laisse agir entre cinq et dix minutes sans laisser sécher. Vient le brossage énergique avec un balai à poils durs pour décoller les résidus. On termine par un rinçage abondant à l’eau claire. Si quelques zones résistent, mieux vaut répéter calmement le procédé plutôt que de forcer la concentration.
Le salpêtre se reconnaît à des dépôts blanchâtres qui cristallisent en surface. Il apparaît quand l’eau remonte par capillarité et entraîne des sels minéraux. La première étape consiste à brosser à sec pour retirer le gros, puis à appliquer un neutralisant anti-salpêtre. Si le problème vient d’une humidité structurelle, un traitement de fond s’impose afin de couper les remontées d’eau. L’injection de résine hydrophobe dans l’épaisseur du mur crée une barrière durable. Une meilleure circulation d’air aide ensuite la paroi à sécher et limite les retours.
Les solutions naturelles rendent service pour un décrassage léger. Le bicarbonate, en cataplasme ou en eau tiède, neutralise les sels en surface sans agresser. Le vinaigre dilué peut dissoudre les dépôts sur des supports compatibles uniquement. À éviter sur les pierres calcaires et les mortiers sensibles. Dans le doute, on teste toujours sur une zone discrète et l’on rince largement.
Sur les zones ombragées et humides, mousses et micro-organismes s’installent vite. Des produits anti-mousses spécialisés pour pierre naturelle font le ménage tout en respectant le support. Les versions prêtes à l’emploi se pulvérisent directement, sans rinçage. On travaille sur surface sèche et l’on laisse le produit s’imprégner. L’action est progressive pendant deux à quatre semaines. Les pluies suivantes emportent les résidus. Compter en moyenne un litre pour dix à vingt-cinq mètres carrés selon l’encrassement.
Quand l’humidité vient du sol, il faut traiter la cause. Plusieurs techniques existent. L’injection de résine hydrophobe revient généralement entre quarante et cent cinquante euros le mètre linéaire suivant l’épaisseur du mur et l’accessibilité. La pose d’une membrane étanche se situe souvent entre quatre-vingts et deux cents euros le mètre linéaire. Un drainage périphérique, couplé à un géotextile et un gravier adapté, tourne autour de cent à deux cents euros le mètre linéaire. Ces ordres de grandeur varient selon le chantier. Un diagnostic sérieux aide à choisir la bonne combinaison.
Une fois la situation stabilisée, on pense prévention. On améliore la ventilation des pièces, on traite les soubassements avec un hydrofuge respirant, on vérifie gouttières, descentes et évacuations pour éloigner l’eau des murs. Ce trio réduit durablement l’humidité et garde la pierre saine, sans sacrifier son aspect.
Entretien courant (pH neutre) — ultra synthèse
Nettoyer à l’eau tiède avec pH neutre, dose léger, rincer généreusement et sécher microfibre : la pierre reste protégée et naturelle.
Savon noir Savon de Marseille Nettoyant pierre pH 7
Routine : dépoussiérer → laver (eau tiède + savon) → rincer → sécher. Fréquence : zones très sollicitées chaque semaine, sinon mensuelle.
Sans vinaigre ni acides Prudence Javel/détergents forts Pas de haute pression
Détachants express : graisses → Terre de Sommières 24–48 h ou pâte bicarbonate + H₂O₂ ~3 % • vin/café → bicarbonate + H₂O₂ (ou enzymatique) • rouille → oxalique sur pierres résistantes, chélateurs sur calcaires.
Laitances de ciment : organique sur calcaires, acide spécialisé sur granits. Méthode : surface pré-humidifiée, 5–10 min sans sécher, brossage poils durs, rinçage abondant (finition adoucie ≤ 10 %).
Cas spécifiques : salpêtre → brossage, neutralisant, traiter l’humidité de fond, ventiler • mousses → anti-mousse sur support sec, sans rinçage, action 2–4 semaines (~1 L/10–25 m²) • remontées capillaires → résine / membrane / drainage selon diagnostic.
Prévention : aérer, hydrofuger les soubassements (produit respirant), contrôler gouttières et évacuations pour éloigner l’eau des murs.
Aucune salissure, graisse ni résidu apparent
Humidité inférieure à 5 % pour assurer la pénétration
Entre 5 °C et 30 °C, sans courants d’air forts.
Décapage des anciennes cires, dégraissage avec produit compatible, puis rinçage.
48 heures minimum après lavage humide, avec aération pour accélérer.
Goutte d’eau (absorption lente), puis essai 20 × 20 cm pour vérifier l’aspect.
Application généreuse jusqu’à saturation des pores, par zones de 2–3 m², sans surépaisseur.
Séchage d’environ 1–2 h selon porosité. La surface doit être sèche au toucher.
Application plus légère. On égalise pour éviter toute brillance et on essuie les surplus.
Remise en service après 24–48 h. Aération maintenue. Aucun contact avec l’eau pendant 48 h.
Humidité permanente, produits de traitement (chlore, sel), variations thermiques et passage fréquent demandent une approche renforcée.
Décapage des dépôts calcaires avec produit compatible, dégraissage des crèmes solaires, neutralisation, rinçage minutieux.
Séchage : 72 h minimum sans contact avec l’eau.
Base minéralisante, puis hydrofuge consolidateur au spalter pour charger arêtes et chants. Oléofuge optionnel autour des zones repas.
Polymérisation : remise en eau après 48 h, résistance optimale en ~7 jours.
Soigner angles, aboutements et joints. Sur margelles à goutte d’eau, traiter aussi la face inférieure.
Les hydrofuges non filmogènes de qualité sont incolores et respectent l’aspect naturel. Les versions « effet mouillé » intensifient légèrement les couleurs pour un rendu plus contrasté.
La durabilité dépend de l’exposition et du produit : intérieur 8–10 ans ; extérieur abrité 5–8 ans ; extérieur exposé 3–5 ans ; piscine 5–10 ans selon le traitement.
Oui, après décapage de l’ancien traitement ou quand son efficacité baisse (test de la goutte d’eau). Un léger ponçage peut être nécessaire pour retrouver une absorption homogène.
La plupart conviennent à la pierre naturelle, mais des exceptions existent : certaines pierres bleues réagissent mal à des formulations spécifiques, les pierres polies peuvent voir leur aspect modifié. Un test préalable reste indispensable.
Usage quotidien nettoyage hebdomadaire ; usage modéré nettoyage mensuel ; hydrofuge renouvellement tous les 5–10 ans selon l’exposition.
Graisses Terre de Sommières sous film plastique 48 h ; vin/café bicarbonate + eau oxygénée ; rouille acide oxalique uniquement sur pierres résistantes (privilégier des chélateurs sur pierres sensibles).
Identifier la source d’humidité, traiter éventuelles remontées capillaires, nettoyer les dépôts avec un produit anti-salpêtre adapté, puis améliorer la ventilation pour stabiliser la paroi.
Réaliser le test de la goutte d’eau : si l’eau perle et ne pénètre pas, la protection est opérante ; si elle s’absorbe rapidement, il faut renouveler le traitement.
Non. Prévoir 48 h sans pluie avant l’application, 12–24 h sans pluie après, une température de 5à30 °C et un support parfaitement sec.
Procéder à un décapage chimique avec solvants spécialisés. En cas d’échec, un ponçage mécanique contrôlé peut s’imposer, suivi d’un nettoyage soigné avant une nouvelle application.
Tarifs main-d’œuvre (fourniture incluse)
*Conditions variables selon volume et destination.
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